Le rapprochement entre AdVini et Cordier by InVivo redistribue discrètement les cartes du vin français. Derrière l’opération financière, Bordeaux et la Nouvelle-Aquitaine s’imposent comme le véritable centre de gravité industriel et export du futur ensemble.
À Bordeaux, la campagne municipale 2026 se résume pour l’instant à une guerre de stratégies et d’ego, très loin des vrais enjeux du quotidien des Bordelais.
Au Bordeaux Ynov Campus, 150 invités ont vécu une cyberattaque grandeur nature. Une immersion réaliste qui révèle l’ambition du campus : former des spécialistes capables d’affronter le pire dans un monde où la menace est devenue permanente.
Vignes arrachées, maires du Bassin désarmés, sondage qui secoue Bordeaux, rugby en mutation et un Poulet Gaston Gérard revisité. Une semaine dense, tendue, où la Nouvelle-Aquitaine se réinvente sous pression.
Annoncée par Julien Parrou-Duboscq, la Liste Féret dévoile les 1 500 personnalités qui façonnent Bordeaux et la Gironde.
Le plan d’arrachage à 130 M€ révèle une vérité que l’État esquive depuis des années : la viticulture française décroche, et le vignoble girondin encaisse le choc.
Le sondage OpinionWay commandé par Thomas Cazenave rebat les cartes à Bordeaux : centre droit divisé, gauche sous tension, RN et LFI en embuscade. La campagne change d’échelle.
Le départ spectaculaire d’Alexandre Laing de Tudigo expose les failles du crowdfunding : crise immobilière, PSFP, conflits d’associés et plateformes au bord de la rupture.
21 km de froid, de brouillard et un objectif sous les 2 heures. Récit d’un semi-marathon vécu de l’intérieur, entre douleur, fierté et plaisir coupable.
Au cœur des Chartrons, Chez Aurel incarne le meilleur du bistrot bordelais : cuisine sincère, produits frais, accueil chaleureux et simplicité assumée. Une adresse où l’on revient, parce qu’on s’y sent bien.
Malgré un écosystème actif, de nombreux atouts, la French Tech de Nouvelle-Aquitaine ne produit pas de scale-up et reste boudée par les investisseurs.
Le GSEF 2025 à Bordeaux se veut vitrine mondiale de la solidarité. Mais derrière les discours, la Région Nouvelle-Aquitaine coupe dans les budgets : l’ESS, pilier local de l’économie durable, ne reçoit que 0,33 % des crédits régionaux.